Film vidéo
Je réalise quelques portraits de personnage, héros d’une histoire ou d’une situation. C’est de l’art numérique, de la 3d et film d’animation.
La bulle
Je réalise un film « la bulle » pour le festival de la revue Sampling, sur le thème de l’antigravité
Une reporter d’image pose dans un fauteuil club et se soumet au loi de la gravité.
Paris 2002
mamanteregarde.com
Je réalise « mamanteregarde » pendant la pause café d’un travail de directeur artistique à Scalian anciennement Eurogiciel, ou je réalise des chartes graphiques, et ce jour pour la bassin de Lacq en faillite, il fallait un site intranet pour occuper les employés à la découverte de l’informatique.
Une maman attendrie regarde les utilisateurs d’internet, le film s’accompagnait du nom de domaine « mamanteregarde.com »
le film réalisé en marge de la commande à du coup été très apprécié des futurs internautes en berne.
Paris 1999
BH ou l’ombre d’un doute
Je réalise BH, mon double au masculin, c’est un acteur tragique perdu dans un dédalle de codes (panneaux de la signalétique routière) dont il ne comprend pas la signification.
Le film est diffusé au festival de cinéma (ヨコハマ映画祭, à Yokohama eigasai), là ou je ne suis jamais allée.
Le titre et la bande son sont empruntés à Alfred Hitchcock, « l’ombre d’un doute »
Diffusion Yokohama et Paris 2004
Je réalise BH, mon double au masculin, c’est un acteur tragique perdu dans un dédalle de codes (panneaux de la signalétique routière) dont il ne comprend pas la signification.
Le film est diffusé au festival de cinéma (ヨコハマ映画祭, à Yokohama eigasai), là ou je ne suis jamais allée.
Le titre et la bande son sont empruntés à Alfred Hitchcock, « l’ombre d’un doute »
Diffusion Yokohama et Paris 2004
Photo/ Magazine féminin
Aux caves du Roy, dans une boite de nuit à Saint- Tropez, je photographie des pieds.
« Un sens caché de la fête, ou l’ennui au féminin »
Magazine parce que formaté par des images. Mais images qui jouent à cache-cache avec ce qu’elles montrent. Une énigme spatiale : dans quel très petit trou se loge un corps humain, occupé à photographier les pieds des femmes de Saint-Tropez de beaucoup trop près ? Sur les colonnes des talons aiguilles, leurs chaussures de charme pèsent comme des monuments. Voilà deux cartes postales en un seul déclic : celle des monuments de la ville, celle de la fête bronzée sur la Côte. Cette superposition des thèmes produit un choc. On rentre dans le sujet comme dans un accident routier. Une révélation nous attend au ras du sol : il existe un sens caché de la fête, c’est l’ennui au féminin. Ça laisse une tache, une série de taches sur la conscience. Même sans changer la vie, on pourrait au moins changer la fête.
Texte de Hugo Lacroix
Saint Tropez 2008
Portrait photo/ KRISTOFER
Mannequin à l’agence ELITE, J’habille Kristofer de papier et de carton, il posera pour moi dans un terrain vague du 18 ème
Paris 2012
Portrait photo / mon banquier
François Locdulé est banquier dans la vie active consultant et formateur en finance d’entreprise, (Marchés de capitaux et gestion d’actif à BNP Paribas)
Il posera pour moi dans la forêt de Sénart.
Le banquier dans l’histoire des Arts est souvent représenté comme participant aux vanités du monde, ou comme une caricature de l’usurier peint dans son environnement, mais le rôle du banquier d’aujourd’hui dépasse largement le rôle d’acteur de transactions financières, il est aussi la principale figure et caution de la pauvreté dans le monde.
Dans cette œuvre, je place ce personnage ailleurs, il est nu dans la forêt, acteur d’une scène de guerre tribale.
Sur cette photo le banquier perd à la fois l’exercice de ses fonctions, de sa posture et détrône symboliquement la banque.
François Locdulé est un ami banquier, il s’est prêter au jeu, j’ai réalisé des vêtements en papier, un masque, cette photo fait partie d’une série.
La légende figure sous la photographie, elle appelle l’observateur à se questionner.
Ce travail est un jeu sur la symbolique de la violence, celle avec laquelle le monde de la spéculation a chassé l’homme de la nature.
Performance / Jeanne Oustal
En 2008, Jeanne Oustal est directrice de communication pour l’agence Pollen 42, elle réalise des chartes graphiques avec une équipe de développeur, le week-end elle s’évade entre ciel et terre et fait voler du papier en fumée.
Autoportrait photographique Paris 2008
En sculpture/ La marre urbaine
A Pernety dans le 14 ème, je fabrique une coulée de mer bleue au centre d’un terrain vague désaffecté.
Format 6 X 6 (Rolleiflex) Paris 1988
,
Diffusion Yokohama et Paris 2004